LES DORTOIRS : il y en avait quatre dans les années 65 à 68.
Pour le primaire St Jean sous le toit du batiment donnant sur la cour : on y accédait par le grand escalier de béton qui montait du réfectoire, lui placé dans le sous sol du batiment longeant la rue du four à chaux-.
Pour y entrer, de chaque coté les chambres des deux surveillants : M l'abbé VINCENT et un surveillant - éléve de terminale qui devait payer ainsi sa scolarité et sa pension je pense-
À l'autre extrémité il y avait une porte qui donnait sur le grand escalier de bois montant depuis le bureau de monsieur le supérieur et donc du parloir.
Sur ce palier, en face une porte donnant sur un grand grenier, poussiéreux dépotoir rempli de valises en cartons et caisses du même bois. Tout à fait au fond à gauche une trappe donnait accés au dessus du plafond en voute en la chapelle. Avec mon camarade Daniel D. on y avait trouvé un carton rempli de "Sciences et la Vie" des années 50 dont le numéro spécial "salon de l'automobile 1954" Qui avait bien put déposer ça à cet endroit ? peut étre un grand besoin de solitude avait conduit un "pensco" là pour quelques heures.
Les lavabos étaient situés sur le palier en haut à droite de l'escalier. Il ya avait là un recoin avec une collection de vase d echambre en porcelaine à faire damner un antiquaire : reliquat de quelques apportts anciens ?
Pour le secondaire : Saint Pierre et St Paul.
St Pierre juste sous St Jean - faut il y voir un signe d'humour dans le nom respect de la hiérarchie de nos bons abbés ? - Une des deux chambres étaient celle de Alain BERRIER -coté cour- et l'autre de M. DEMASSIEUX, surveillant de l'étude de 5éme.
St Paul avec les deux chambres de surveillants adossées au mur de la chapelle. M. l'abbé GIN - du Portel évidemment- et ???
Ici les lavabos étaient le long du mur coté cour d'honneur.
Pour les secondes jusqu'aux terminales le dortoir était babtisée Ste Marie, là régnait en maitre absolu M. MAQUIGNON -natif de WISSANT-
Ce dortoir longeant la cour à vélo, dans le batiment coté rue du four à chaux avait la particularité d'étre particulièrement sombre car le surveillant titulaire l'avait équipé, aidé de quelques pensionnaires dont un était fils de menuisier , de volet en bois interne.
Le certain "luxe" régnait ic, il y avait juste aprés la porte d'entrée à droite un local sanitaire et à gauche, derrière une cloison à mi hauteur, les lavabos.
Lorsque j'évoque les lavabos, comprenait des bacs en porcelaine rectangualire munis de deux robinets : eau froide et eau froide, chacun de ces robinets était attribué à un pensionnaire.